جرائــــــــــــــــــــــــم الصحافة

Résumé: Sommaire: La liberté d'opinion et d'expression est l'un des droits fondamentaux de l'individu, qui a été prôné par de nombreuses chartes et traités internationaux et législations internes, ce droit ayant été consacré constitutionnellement en Algérie en 1996 en plus des lois internes ordinaires. Il est considéré comme le droit du citoyen d'être informé de l'actualité et des événements émergents, ces actions relèvent des devoirs du journaliste .ce dernier, qui a été légiféré par la loi, a le droit d'accéder à l'actualité, le tout dans le cadre des médias la liberté ou la liberté de la presse. Cependant, ce droit n'est pas une liberté absolue, mais plutôt restreinte par des textes juridiques, y compris ce qui garantit l'identification de l'acte criminel et ses conséquences, qui peuvent équivaloir à l'imposition de la liberté- des peines privatives de liberté, et cela dans le cadre du Code pénal n° 01-09. Parmi les restrictions figurent celles qui garantissent le cadre professionnel de détermination de l'éthique et des principes de la profession et de réglementation du travail au sein des médias jusqu'à la détermination des infractions commises dans le contexte de l'activité des médias, puis la détermination des peines pour les actes délictueux, et ce à travers la loi organique n° 12-05 relative aux médias. Car le journaliste, tant qu'il exerce ses activités dans le respect de l'éthique de sa profession, est protégé par la loi, et s'il dépasse le cadre permis et tombe dans l'interdit par la loi, alors il aura commis ce qu'on appelle crime journalistique, actes qui le font sortir du cadre autorisé par la loi et le soumettent ensuite à une responsabilité pénale.

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