Globalization, Hyperconsumerism, And Hyperreality In Bret Easton Ellis's Glamorama (1998)

Résumé: Abstract This article attempts to shed light on hyperconsumerism and hyperreality as two postmodern paradigms of globalization in Bret Easton Ellis's Glamorama (1998). In fact, commodities circulate on a global scale and acquiring them has become an inseparable fact in the signification of individual identity. The proliferation of signs and media images diffused globally creates a hyperreal ambiance where it is no longer possible to distinguish the real from the simulated. In the novel, Ellis criticizes and condemns the consumer-obsessed transformation of society where the commodity becomes cherished for its sign more than its use. In addition, reality is considered through models derived from other models which no longer have an origin. Résumé Cet article tente d'étudier l'hyperconsommation et l'hyperréalité en tant que deux paradigmes postmodernes de la mondialisation dans Glamorama (1998) de Bret Easton Ellis. En effet, les produits de base circulent à l'échelle mondiale et leur acquisition est devenue un fait indissociable dans la signification de l'identité individuelle. La prolifération de signes et d’images médiatiques diffusées à l’échelle mondiale crée une ambiance hyperréale où il n’est plus possible de distinguer le réel du simulé. Dans le roman, Ellis critique et condamne la transformation de la société, obsédée par la consommation, où la marchandise est chérie pour son signe plus que pour son utilisation. De plus, la réalité est considérée à travers des modèles dérivés d’autres modèles qui n’ont plus d’origine.

Publié dans la revue: Aleph