Habitat Participatif, Une Autre Façon De Bâtir Son Cadre De Vie

Résumé: L’Algérie a connu et connaît, encore les effets de la crise d’habitat ; l’apparition de nouveaux programmes, mis en place par l’Etat en complément à la formule du logement social locatif, notamment, la location-vente (AADL), le social participatif, le promotionnel et l’aide à l’auto construction dont le but était d’éradiquer la crise du logement par la production des quantités en répondant à la demande aux besoins matériels tout en négligeant les besoins spirituels. L’expérience de Ksar Tafilelt dans le programme du logement social participatif reste une référence et aussi EVA-Lanxmeer Culemborg aux Pays-Bas une initiative citoyenne, des exemples réussis en matière de participation citoyenne et de maîtrise de l’environnement Notre intérêt pour ce travail est fondé sur l’impact de la participation du citoyen en amont, dans la conception ,la réalisation, et le financement de son habitat, sur sa qualité spatiale ; architecturale, le sentiment d’appartenance et d’appropriation des lieux qui permettent la disparition du phénomène de transformation d’habitat pour ne pas s’engager à des frais supplémentaires pour l’amélioration de son logis afin d’assurer un cadre de vie favorable et un bien être. Notre objectif est d’aller vers un modèle d’habitat en adéquation avec un mode de vie, des pratiques sociales en intégrant l'écologie et la participation du futur habitant , qui est le facteur important, car le fait de pouvoir participer et s’investir lors de la réalisation d’un projet de logements permet, dans un premier temps, de personnaliser son lieu de vie et de créer un logement qui sera adapté à ses besoins, en vue de lui offrir un cadre de vie de qualité et un bien être convivial et durable. Mots-clés : Habitat, Tafilelt, écologie, EVA-Lanxmeer, participation, cadre de vie, bien être.

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