Patrimonialisation Du Parc National Du Djurdjura

Résumé: Notre zone d’étude qui est le Parc National du Djurdjura situé dans la région tellienne centrale, au Nord de l’Algérie. C’est un territoire qui a une réserve naturelle riche, une faune et une flore diversifiées qui compte des espèces rares que nous trouvons qu’au Djurdjura et des espèces protégées sur l’échelle nationale existantes dans ce dernier. Il est caractérisé par des paysages multiples offrant ainsi des foyers pour chaque espèce existante au parc. Il est aussi composé de forêts, de falaises, d’escarpements rocheux et de pelouses qui offrent la nourriture pour la faune et autres sites naturelles et même qu’il offre des opportunités pour la recherche et la collaboration scientifique. Il est érigé comme réserve de biosphère et patrimoine de l’humanité le 15 décembre 1997 par l’UNESCO. Notre étude s’élargit pour arriver à l’un des secteurs de ce parc qui est Ait Ouabane, c’est un village situé au coeur du parc du Djurdjura. Il est également riche en culture et en traditions ou l’agriculture est principale qui oeuvre au maintien de son patrimoine culturel, comme il compte des arbres uniques au monde. Les citoyens de ce village préservent ces valeurs depuis l’époque, ils ont mis des lois propres à eux même avant le ralliement du village au parc national du Djurdjura, mais après le ralliement les villageois ne se contentent pas des lois indiquées et imposées par l’administration du parc qui dépassent les frontières établies par les citoyens, arriver même à se mêler des propriétés privés. Les habitants pensent que faire partie du parc est un avantage afin de protéger leur patrimoine, mais si la situation ne se règle pas cela ne va attiser que leur colère. Le ralliement du village au parc doit apporter des avantages au village et également au parc non pas le contraire, car l’union des deux cotés réglera bien d’éventuelles conflits

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