إدارة الملف النّووي الإيراني مع قوى الغرب وأثره على السّاحتين الإقليميّة والدوليّة

Résumé: Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies et de l'Allemagne (P5 + 1) ont réussi à parvenir à un accord sur le précédent programme nucléaire à Genève le 24 novembre 2013. Cet accord est considéré comme une fin des travaux, du moins pour le moment. . Cela brise également le modèle d'hostilité post-islamique de 1979 entre Téhéran et l'Occident. Plus important encore, il aide les parties en conflit à éviter toute guerre potentiellement dangereuse en cas d'échec de la diplomatie. Le monde entier a salué cet accord, considéré comme "un premier pas important" dans le règlement du différend nucléaire iranien et, parallèlement, comme un choc majeur pour les alliés traditionnels des États-Unis dans la région, et en particulier pour les États arabes du Golfe qui ont été choqués que Washington Dans cette étude, je vais essayer de faire valoir que la vision iranienne dans son cas nucléaire est une vision stratégique qui cherche à acquérir les pouvoirs étendus afin de renforcer son influence dans la région et ainsi atteindre et sauvegarder ses intérêts. Ainsi, une solution globale au différend nucléaire comprendra un changement majeur de l'environnement stratégique du Moyen-Orient, puis de l'Iran, puis de l'Iran et de ses alliés, qui seront les pays les plus puissants de la région. Ainsi, les pays voisins et plus particulièrement le CCG ne seront pas en mesure de faire face à l'expansion et à l'influence régionale de l'Iran. Mais cela ne signifie pas que le CCG permettra à Téhéran d’y aller sans défi, du moins pour une nouvelle phase de concurrence et de conflit intenses. Conformément à ces propositions de base, j'examinerai les négociations du programme nucléaire iranien et la manière dont les défis auxquels ils sont confrontés depuis le début ont été relevées. Enfin, les implications de la stratégie sur les changements régionaux et internationaux seront traitées

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