Les Stratégies De Développement Socioéconomiques À Travers La Microfinance À Djibouti.

Résumé: Ce présent mémoire est un travail réalisé grâce aux connaissances que nous avons acquises durant le cursus master, et de donnés récoltées lors d’un stage pratique qui a eu lieu à l’ADDS (Agence Djiboutienne de Développement). La lutte contre la pauvreté est un défis énorme que Djibouti essaye de résoudre ou réduire, en mettant en œuvre des programmes ciblés et planifiés, et en élaborant des stratégies socio-économiques à court terme depuis les années 2000, après sa sortie du PAS (Programme d’Ajustement Structurel) qu’a connu le pays durant les années 90 . La problématique posée porte sur « les stratégies socioéconomiques de développement à travers la microfinance ». Elle s’intéresse à une thématique très cruciale dans le contexte d’un pays où la problématique liée à la pauvreté et au chômage des jeunes diplômés prend de l’ampleur. Djibouti, à l’instar des économies d’Afrique, est un très jeune pays, qui dégage un certain essor démographique et économique à l’horizon. Pour ce faire, Djibouti a adopté un cadre légal et réglementaire, dans un premier temps, pour le développement du secteur de la microfinance. Cela afin de créer un environnement propice, durable et pérenne à l’endroit des institutions de la microfinance. L’Agence Djiboutienne pour le Développement Social (ADDS) assure l’institutionnalisation et la capitalisation des acquis du FSD. Elle apporte son appui au développement du secteur sous forme de soutien logistique et financier. L’ADDS, quant à lui, sert d’appuis aux IMF dont le rôle est le renforcement des capacités, la mobilisation des financements auprès des partenaires au développement et des bailleurs de fonds.

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