الأسس العلمية للفلسفة الأخلاقية عند سبينوزا

Résumé: Cette étude, marquée par les fondements scientifiques de Spinoza de la philosophie morale, aborde un aspect important de sa philosophie, l’aspect moral, et comment il a basé sa philosophie morale sur un modèle géométrique mathématique à travers son travail en éthique. Il s’agit de concevoir et d’analyser la base scientifique sur laquelle Spinoza a basé son ordre moral loin des interprétations classiques de la valeur morale. L’importance du sujet réside dans la mise en évidence de la philosophie morale de Spinoza dans les aspects scientifiques qui sont venus dans son système métaphysique initié par Dieu au lieu du soi, mais la philosophie de Spinoza dérive son importance de l’adoption de la vision monastique de l’essence et l’interprétation de l’univers, et en faire une base scientifique pour sa philosophie morale. Il a également fait déterminisme et nécessité une alternative à l’idée de la téléologie comme une méthode scientifique. Par cette vue de la substance, il a pu surmonter le problème de la dualité du corps et de l’âme et de sortir de cette situation philosophique. Le modèle unique de Spinoza nous a amenés à le choisir comme une étude, et à se demander comment Spinoza a établi la certitude morale sur une base scientifique dans son système métaphysique. La certitude morale peut-elle exister dans la science avec de multiples interprétations de la valeur morale? Pour répondre à ce problème et aux problèmes connexes, j’ai divisé l’étude en quatre chapitres : Dans le premier chapitre, nous avons brièvement abordé les stations les plus importantes dans la philosophie de l’éthique, ainsi que sur les antécédents philosophiques qui ont formé le modèle de la philosophie de Spinoza de diverses branches de la philosophie, la religion et la pensée. Dans le deuxième chapitre, j’ai tenu à montrer la méthode scientifique et cognitive de la philosophie de Spinoza, et comment Spinoza a basé son approche d’ingénierie (définition, axiomes des questions, des preuves, etc.), et ses degrés de connaissance et le meilleur. Le troisième chapitre se concentre sur la construction géométrique de l’unité de l’existence, la nature de l’imprimeur et la nature imprimée, les attributs divins, la pensée, l’extension et les conditions, le problème du corps et de l’âme, et la nature humaine. Le quatrième chapitre est consacré à la construction scientifique de l’éthique de Spinoza, son rejet de l’idée de la téléologie et sa croyance dans la suprématie de la nécessité et le déterminisme comme une loi scientifique applicable à toutes choses. L’absence totale de liberté, et l’atteinte de la plus haute perfection par l’amour mental divin et le bonheur. Cette étude va au-delà de la conception traditionnelle de l’éthique, qui était fondée sur des vues théologiques et des explications téléologiques, à la réalisation et la démonstration de la nouvelle méthode scientifique offerte par Spinoza comme base de certitude dans la philosophie de l’éthique. La conclusion la plus importante de l’étude est que l’homme ne vit pas dans l’isolement de la nature et de ses lois et est soumis à l’impératif, que notre compréhension et notre conscience de cette nécessité nous fait réaliser notre liberté et qu’il n’y a pas de distinction entre la science naturelle et la science divine, que le bonheur réside dans notre compréhension des lois de la nature et notre connaissance de l’amour de Dieu avec la science. La philosophie éthique de Spinoza représentait un projet épistémologique intégré, qui offrait des explications sur l’existence et les choses, croyant que l’esprit est capable de comprendre la nature et son système scientifiquement.

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