Données Biométriques, Indices Physiologiques, Dosage Des Métaux Lourds Et Étude Des Métabolites Secondaires De L'holothurie Aspidochirote : Holothuria Tubulosa (gmelin, 1788) De La Côte Oranaise (algérie)

Résumé: Les holothuries aspidochirotes et plus précisément l'holothurie tubuleuse invertébré marin benthique se trouve très répandue en mer méditerranée occidentale. L'étude s'étalant sur une année (février 2014- janvier 2015) s'est faite sur Holothuri atubulosa (Gmelin, 1788) fréquentant trois sites de la côte oranaise à savoir La Madrague, Ain Franin et Cap Carbon. A travers cette étude nous avons considérés quatre volets de recherches : La variation des indices physiologiques (IGm et IRm) montrent que les valeurs de l'IGm augmentées au courant de l'année et qu'un pic signalant le frai s'enregistrer où les valeurs sont basses et cela pendant la saison d'automne pour les trois populations d'holothuries étudiée, La Madrague (1,49 ± 2,03), Ain Franin (0,22 ± 0,52) et Cap Carbon (0,33 ± 0,52). La corrélation entre les différentes mesures pondérales et linéaires obtenues d'H. tubulosa. D'où les résultats qui soulignent une bonne corrélation de l'ordre de 87% entre le poids frais et la longueur totale, entre le diamètre et la longueur rétractée des spécimens. Les concentrations métalliques aux niveaux des organes indiquent que la variabilité géographique montre une distribution des métaux (p<0,01) significative pour l'ensemble des métaux à l'except du Cd ou la différence non significative (p>0,05) entre le site de Cap Carbon et Ain Franin. Concernant les sédiments la différence entre les sites d'échantillonnages est significative (p<0,01) par rapport au Cu et Fe. L'étude biochimique montrent que les teneurs des métabolites tel que les polyphénols totaux, les flavonoïdes totaux et tannins totaux enregistrent les plus élevées au niveau du site de Cap Carbon (63,03 ± 3,4 mg/gr) et la Madrague (53,61 ± 5,31 mg/gr), et les plus basses été au niveau de site d'Ain Franin (25,4 ± 1,06 mg/gr).

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